What is the French Connection?

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If you are of a certain age, the words ‘French Connection’ conjure up a trio of some of the best hockey players in the NHL during the 1970s. Arguably, they were the best line in the league at the time. The city of Buffalo lionized them so much that they even built a bronze statue of the trio.

If you are a film buff, than ‘French Connection’ brings to mind Gene Hackman in the 1971 Oscar winning film about a New York narcotics detectives.

If you love cocktails, and who doesn’t, you no doubt would know that one of the best ways to enjoy young cognac is to have a ‘French Connection’ mixing the cognac with Amaretto.

If you are into fashion, you may think of the ‘French Connection’ company known as FCUK.

And now to add to this mix, the cycling world has its own ‘French Connection’, a bike tour from Quebec City, the epicentre of French culture in Canada, to New Orleans, the centre of French culture in the USA.

History buffs will know that the French competed with the English, Dutch and others to establish colonies in North America. In 1803 Napoleon needed a few bucks for his endless military adventures so he sold large parts of what is today mid-western and southern America to the newly independent republic. What became the deal of the century, the Louisiana Purchase, of course, included New Orleans.

But why is a tour from Quebec City to New Orleans called French Connection? Well, for one, we thought that, putting aside the fact that the route allows cyclists to enjoy many highlights of eastern Canada and the USA, it connects two French solitudes. Perhaps more importantly, it allows riders to go completely decadent and enjoy a variety of tasty French food without going to France. Of course, it goes without saying that when you cycle over 100km a day, you do not have to worry about going overboard when it comes to consuming calories.

French food in America? Yup, there is more of it than you may think. And I do not mean only Poutine Galvaude in Quebec, Ragoût de pattes de cochon in Montreal and those expensive French restaurants in Manhattan. You should take a look at the American first foodie, none other than the writer of the American constitution and the 3rd US president, Thomas Jefferson. There is even a book by Thomas J. Craughwell called “Thomas Jefferson’s Creme Brulee: How a Founding Father and His Slave James Hemings Introduced French Cuisine to America”.

So the riders, as they spin their way southwards from Quebec City, will be able to hunt for any possible connection to French food, whether this will be ‘hors d’ouvres’ (otherwise known in US as appetizers) such as Foie Gras, rich desserts such as meringue, crème brule, mousse and crepes, an endless variety of stinky cheeses, fondue or a tasty dish of escargot.

When the cyclists get tired of searching for French food in America, they will have plenty of opportunity to enjoy seafood in Chesapeake Bay, corn bread with bean soup in the Appalachians, Cajun chicken in the south states and to wash it down with a wide variety of craft beers, local bourbons or moonshine.

To finish your culinary quest for French foods in America, you may end your trip in Suite 730 at the century old Le Pavilion Hotel near the French quarter in New Orleans. There you can sip champagne and take a bath in Napoleon Bonaparte’s famous marble bathtub – the one in which he supposedly signed the Louisiana Purchase.

What do you think? Is cycling the French Connection from Quebec City to New Orleans the thing to do this summer?

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Si vous êtes d’un certain âge, les mots « French Connection » vous rappellent un trio d’excellents joueurs de hockey sur glace actifs en NHL durant les années 70. Beaucoup diront qu’il s’agissait à l’époque de la meilleure ligne de la ligue. La ville de Buffalo les appréciait tellement qu’elle a érigé une statue en bronze du trio.

Si vous êtes un amateur de cinéma, alors « French Connection » vous rappellera Gene Hackman dans le film de 1971 primé aux Oscars sur un détective new-yorkais de la brigade des stupéfiants.

Si vous aimez les cocktails, comme tout le monde, vous saurez certainement que la meilleure façon de déguster un jeune cognac, c’est de le mélanger à de l’Amaretto pour créer un « French Connection ».

Si vous suivez la mode, « French Connection » vous évoquera peut-être l’entreprise FCUK.

Maintenant, pour compliquer encore tout ça, le monde du cyclisme possède sa propre « French Connection », une épreuve de cyclisme reliant la ville de Québec, l’épicentre de la culture française au Canada, à la Nouvelle-Orléans, le centre de la culture française aux États-Unis.

Les fous d’histoire sauront que les Français affrontèrent les Anglais, les Néerlandais et d’autres en vue d’établir des colonies en Amérique du Nord. En 1803, Napoléon avait besoin de quelques sous pour financer ses interminables campagnes militaires, il vendit donc des vastes régions de ce qui forme aujourd’hui le Midwest et le Sud de l’Amérique à la jeune république indépendante. Le Louisiana Purchase, ce qui devint l’affaire du siècle, comprenait bien entendu la Nouvelle-Orléans.

Mais pourquoi nommer une épreuve reliant la ville de Québec à la Nouvelle-Orléans la French Connection ? Tout d’abord, car en plus de permettre aux cyclistes d’apprécier de nombreuses beautés de l’Est du Canada et des États-Unis, l’épreuve relie deux régions françaises. Et, ce qui est peut-être plus important, elle permet aux coureurs de déguster une variété de plats français sans devoir se rendre en France. Naturellement, il va sans dire que lorsqu’on parcourt plus de 100 km par jour en vélo, on n’a pas à s’inquiéter de sa consommation excessive de calories.

De la cuisine française en Amérique ? Oui, il y en a bien plus qu’on pourrait le penser. Et on ne parle pas de la poutine galvaude au Québec, du ragoût de pattes de porc à Montréal ou des restaurants coûteux de Manhattan. À commencer, par exemple, par le premier gourmet américain, qui n’est nul autre que le rédacteur de la Constitution des États-Unis et le troisième Président américain, Thomas Jefferson. Il y a même eu un livre rédigé par Thomas J. Craughwell et intitulé « Thomas Jefferson’s Creme Brulee: How a Founding Father and His Slave James Hemings Introduced French Cuisine to America ».

Les cyclistes, alors qu’ils pédalent depuis la ville de Québec en direction du sud, auront donc l’opportunité de rechercher tout lien possible avec la cuisine française, qu’il s’agisse des « hors d’œuvres » (aussi appelés « appetizers » aux États-Unis) comme le foie gras, les desserts comme la meringue, la crème brûlée, la mousse au chocolat et les crêpes et l’infinie variété des fromages puants, la fondue ou les délicieux escargots.

Lorsque les cyclistes se lasseront de chercher des plats français en Amérique, ils auront l’opportunité de déguster du poisson et des fruits de mer dans la région de la baie de Chesapeake, du pain de maïs avec de la soupe aux pois dans les Appalaches, du poulet Cajun dans les États du Sud et ils pourront faire descendre tout ça avec une grande variété de bières artisanales et de bourbons et alcools locaux.

Enfin, pour compléter votre quête culinaire de la cuisine française en Amérique, vous pourrez terminer votre voyage dans la Suite 730 de l’hôtel centenaire Le Pavilion, à proximité du quartier français de la Nouvelle-Orléans. Vous pourrez y siroter du champagne et vous baigner dans la célèbre baignoire en marbre de Napoléon Bonaparte, dans laquelle il aurait signé le Louisiona Purchase.

Qu’en dites-vous ? Voudriez-vous parcourir la French Connection de la ville de Québec à la Nouvelle-Orléans en vélo cet été ?